Nous pensons que le fait d’unir nos forces avec les idées et les applications de la science de base et de l’art peut vraiment nous aider à atteindre nos objectifs.
Luisa I. Falcón
En tant qu’artiste, je peux mettre au point des prototypes de systèmes qui modélisent des modes de pensée expérimentaux et qui proposent des façons de structurer différentes relations avec la biosphère.
Tega Brain
New Nature débutait en ligne avec une conférence du 25 au 28 mai 2020. L'événement regroupait des ateliers et réunions internes, ainsi que des événements publics tels que des discussions et entretiens avec des artistes, qui se poursuivent tout au long de l'année jusqu'en Décembre 2020 par des conférences publiques d'artistes, des séries de projections en ligne, des laboratoires et une exposition audiovisuelle à Montréal et à Berlin en collaboration avec Retune - Creative Technology Laboratory.
Olivia McGilchrist, artiste multimédia interdisciplinaire, chercheuse et répondante étudiante pour la conférence virtuelle New Nature en mai, a invité Petra Bachmeier, Heather Davis et Tamiko Thiel à réfléchir sur l'eau et la pollution de l'eau à travers la lentille de leur propre travail artistique et de leur recherche.
Question 1
La notion du « environnement comme liberté » offre-t-elle des pistes pour de futures collaborations avec d'autres participants de New Nature par le biais d'une combinaison de données scientifiques et de moyens immersifs, y compris le récit ?
Question 2
La question suivante de Ranganathan est-elle en résonance avec votre travail : "Qu'est-ce que cela signifierait de réimaginer l'environnement comme une liberté ? Si oui, comment l'aborderiez-vous avec de futurs collaborateur.e.s issus de différents domaines ?